Belem et Belle poule au Havre Le Belem (1896) est le dernier trois-mâts barque français à coque en acier2, un des plus anciens trois-mâts en Europe en état de navigation et le second plus grand voilier de FranceN 1. Il a porté ce nom jusqu'en 1921 et depuis 1979.Longueur 58 m Longueur de coque 51 m Longueur flottaison 48 m Maître-bau 8,80 mTirant d'eau 3,50 mHauteur de mât 34 m (au dessus de la mer) Voilure 1 000-1 200 m2 (22 voiles) Construit à Nantes, utilisé notamment dans les Antilles, puis tour à tour anglais, italien, puis à nouveau français, cet ancien voilier de charge, plusieurs fois transformé, motorisé et rebaptisé pour divers usages (croisière de luxe et navire-école), est finalement retrouvé par hasard à Venise dans un piteux état à la fin des années 1970, par un amateur nostalgique. Racheté grâce à l'appui de la Caisse d'épargne, mécène de la Fondation Belem3 qui entreprend sa restauration, il est aujourd'hui reconverti dans le cabotage, offre des stages d'initiation et de découverte aux passionnés, sert entre autres et accessoirement à la Marine nationale pour l'entraînement de ses mousses et apparaît dans les grands rassemblements de vieux gréements traditionnels.Le Belem fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis le 27 février 1945.En 2024, ce voilier de prestige transporte la flamme olympique d’Athènes à Marseille à l'occasion des Jeux olympiques de Paris.
Le Belem (1896) est le dernier trois-mâts barque français à coque en acier2, un des plus anciens trois-mâts en Europe en état de navigation et le second plus grand voilier de FranceN 1. Il a porté ce nom jusqu'en 1921 et depuis 1979.Longueur 58 m Longueur de coque 51 m Longueur flottaison 48 m Maître-bau 8,80 mTirant d'eau 3,50 mHauteur de mât 34 m (au dessus de la mer) Voilure 1 000-1 200 m2 (22 voiles) Construit à Nantes, utilisé notamment dans les Antilles, puis tour à tour anglais, italien, puis à nouveau français, cet ancien voilier de charge, plusieurs fois transformé, motorisé et rebaptisé pour divers usages (croisière de luxe et navire-école), est finalement retrouvé par hasard à Venise dans un piteux état à la fin des années 1970, par un amateur nostalgique. Racheté grâce à l'appui de la Caisse d'épargne, mécène de la Fondation Belem3 qui entreprend sa restauration, il est aujourd'hui reconverti dans le cabotage, offre des stages d'initiation et de découverte aux passionnés, sert entre autres et accessoirement à la Marine nationale pour l'entraînement de ses mousses et apparaît dans les grands rassemblements de vieux gréements traditionnels.Le Belem fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis le 27 février 1945.En 2024, ce voilier de prestige transporte la flamme olympique d’Athènes à Marseille à l'occasion des Jeux olympiques de Paris.
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